Le GIEC n'en fini pas d'alerter les "décideurs" sur les causes et conséquences du réchauffement climatique.
Le but de la manœuvre n'est pas de sauver les baleines ou les ours, mais d'éviter à la planète tout entière (nous y compris) quelques petits désagréments parmi lesquels on peut citer (dans le désordre) : la sècheresse et la canicule, les catastrophes climatiques, les épidémies, la famine et la guerre.
A force de s'adresser à des dirigeants qui s'en moquent, je suggère que le prochain rapport du GIEC porte le titre suivant : "Le réchauffement climatique pour les nuls".